C’est pour lutter contre l'usurpation ou la falsification d'identité
que les députés viennent d’adopter en seconde lecture
une proposition de loi après des mois de débats.
En clair, la nouvelle carte biométrique intégrera deux puces.
La première, dite « régalienne », contiendra les informations d'identité
de son propriétaire : nom, prénom, date de naissance,
empreintes digitales, couleur des yeux...
La seconde puce, dite « e-services », est facultative.
Elle devrait permettre de s’assurer de l’identité de l’acheteur
lors de transactions commerciales ou administratives en ligne,
via un lecteur de carte relié à l’ordinateur.
Atteinte aux libertés individuelles
ou garantie contre l’usurpation d’identité ?