La Poste innove en lançant de nouveaux services,
notamment une ingénieuse "lettre en ligne" et un timbre à 0,57€.
Chercher désespérément un bureau de poste ouvert,
après 18 heures,
pour envoyer une lettre urgente .. Fini !
La Poste a trouvé la parade : il suffit de passer par Internet.
Se connecter au site Web de l'entreprise publique pour y "déposer",
avant 19 heures, le courrier.
La Poste se charge ensuite de l'imprimer et de le distribuer,
dès le lendemain, n'importe où sur le territoire.
Pour une lettre recto, en noir, il en coûtera 0,99€,
impression et enveloppe comprises.
À partir de samedi 1er octobre, possible d'opter
pour un service intermédiaire :
la lettre "verte", délivrée à J + 2 moyennant un timbre à 0,57€.
SOURCE
http://bit.ly/3JQ8dB
Rose, un magazine glamour pour les femmes atteintes d'un cancer
Il s'appelle Rose, comme "octobre Rose",
le mois du cancer du sein,
mais il vise toutes les femmes qui ont eu ou ont un cancer :
ce nouveau magazine glamour, semestriel et gratuit
sera largement distribué à partir du 18 octobre
dans des établissements de soins ou des comités départementaux
de la Ligue contre le cancer.
"Rose", qui compte pas moins de 216 pages, offre des témoignages
et des conseils pour tous les jours : se maquiller,
prendre soin de soi, bien manger,
mais aussi soulager les effets des traitements, trouver des aides...
. Il propose aussi des enquêtes et des témoignages.
Rose se veut aussi un féminin "classique", avec des pages beauté
-"la première victoire sur la maladie c'est de ne pas faire malade"-,
mode, gastronomie.
Il y a aussi les mots pour le dire à l'entourage,
et un bêtisier du cancer haut en couleurs....
.
Tiré à 200.000 exemplaires, Rose sera aussi disponible sur le net,
à :
rosemagazine.fr.
Deux petites filles qui dansent et chantent en reprenant
"Superbass" de Nicky Minaj.
Sophia Grace Brownlee.
Cette petite fille d'à peine 5 ans, habillée en princesse,
chante et danse cette chanson, accompagnée de sa soeur...
Elle est douée et en plus elle est très mignonne !
Il n'en fallait pas plus pour que la vidéo fasse le buzz !
Les réseaux sociaux dans des publicités vintage
Des géants d'Internet ont fait l'objet de publicités vintage.
Réalisées par l'agence Moma, basée à Sao Paulo,
ces affiches publicitaires, dont le style date d'une autre époque,
vante les mérites de Facebook, Twitter, Skype et YouTube.
Mais aujourd'hui ces incontournables de l'univers d'Internet
n'ont pas besoin de publicités...
C'est plutôt un bel hommage qui leur est rendu.
VOIR LES AUTRES :
Photo R.M.
Aujourd’hui avec Internet et les mobiles,
des systèmes communautaires permettent de consommer malin
Au niveau de la consommation,
a technologie permet d’être pisté et offre des données
de plus en plus précises aux distributeurs sur nos façons d’agir et d’acheter.
Un problème que certains systèmes communautaires compensent en partie.
C’est le cas notamment de Prixing,
petit logiciel gratuit à télécharger sur son mobile
et qui permet ni plus ni moins de se renseigner sur un produit
avant de l’acheter et de comparer son prix avec ceux d’autres magasins alentours
Une fois l’application téléchargée,
le consommateur n’a qu’à approcher son téléphone portable
du code-barres du produit sur lequel il veut se renseigner.
Le mobile donne alors tous les renseignements,
prix conseillés, comparatifs et avis des consommateurs sur ce produit.
SOURCE :
"Le banc"
film d'animation réalisé , dessiné et animé
par Kitty Crowther et Bruno SalAmone
musique de Sissi Lewis,
dans le cadre de l'exposition "Aller Retour"
rencontres graphiques franco belges
90ème anniversaire d'Art Clokey
Google rend hommage au réalisateur américain Art Clokey
en mettant un Doodle spécifique
pour célébrer son 90ème anniversaire.
Art Clokey est mort le 8 janvier 2010.
Il est considéré comme le pionnier de l’animation à base de pâte à modeler
depuis son tout premier film en 1955 : Gumbasia,
il est notamment connu pour avoir réalisé,
avec sa femme, le personnage Gumby.
Martin Lartigue, à qui l'on doit la réplique culte
« Si j'aurais su, j'aurais pas v'nu ! » dans « La Guerre des boutons »,
est aujourd'hui artiste.
Martin Lartigue dans son atelier de peinture, à Sore. Photo Pascal Bats
Voilà près de trente-cinq ans que Martin Lartigue a laissé tomber
les toiles du grand écran pour celles qui peuplent son atelier de création.
Celui qui, il y a cinquante ans, avait enfilé les culottes courtes
de l'inoubliable Petit Gibus dans « La Guerre des boutons » d'Yves Robert,
vit depuis dix-huit ans dans un havre de paix, à Sore,
aux côtés de son épouse biscarrossaise,
se partageant entre peinture et céramique.
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