Westfield Stratford City, Londres, Royaume-Uni.
Le film est un compte à rebours (100 ans)
et célèbre un siècle de mode,
danse et musique.
Il a été tourné pendant 4 jours dans Londres ,
avec des centaines de changements de costumes.
Westfield Stratford City, Londres, Royaume-Uni.
Le film est un compte à rebours (100 ans)
et célèbre un siècle de mode,
danse et musique.
Il a été tourné pendant 4 jours dans Londres ,
avec des centaines de changements de costumes.
Une bouche d'incendie est une mesure de protection contre les feux
et une source d'eau fournie dans les zones les plus urbaines,
banlieues et zones rurales.
Elles permettent aux pompiers de puiser dans les réserves d'eau
pour aider à éteindre le feu.
Voici des bouches d'incendie bien décorées....
Vous pourrez en admirer d'autres ICI
390 ème anniversaire de Jean De Lafontaine
Le Chien à qui on a coupé les oreilles
Gustave Doré
« Qu'ai-je fait, pour me voir ainsi
Mutilé par mon propre maître ?
Le bel état où me voici !
Devant les autres chiens oserai-je paraître ?
Ô rois des animaux, ou plutôt leurs tyrans,
Qui vous feraient choses pareilles... »
Ainsi criait Mouflar, jeune dogue ; et les gens,
Peu touchés de ses cris douloureux et perçants,
Venaient de lui couper sans pitié les oreilles.
Mouflar y croyait perdre. Il vit avec le temps
Qu'il y gagnait beaucoup ; car étant de nature
A piller ses pareils, mainte mésaventure
L'aurait fait retourner chez lui
Avec cette partie en cent lieux altérée :
Chien hargneux a toujours l'oreille déchirée.
Le moins qu'on peut laisser de prise aux dents d'autrui,
C'est le mieux. Quand on n'a qu'un endroit à défendre,
On le munit, de peur d'esclandre.
Témoin Maître Mouflar armé d'un gorgerin;
Du reste ayant d'oreille autant que sur ma main :
Un loup n'eût su par où le prendre.
Les deux Amis
W.Aractingy
Deux vrais amis vivaient au Monomotapa;
L'un ne possédait rien qui n'appartînt à l'autre.
Les amis de ce pays-là
Valent bien, dit-on, ceux du nôtre.
Une nuit que chacun s'occupait au sommeil,
Et mettait à profit l'absence de soleil,
Un de nos deux amis sort du lit en alarme ;
Il court chez son intime, éveille les valets :
Morphée avait touché le seuil de ce palais.
L'ami couché s'étonne; il prend sa bourse, il s'arme,
Vient trouver l'autre et dit : «Il vous arrive peu
De courir quand on dort ; vous me paraissez homme
A mieux user du temps destiné pour le somme :
N'auriez-vous point perdu tout votre argent au jeu ?
En voici. S'il vous est venu quelque querelle,
J'ai mon épée ; allons. Vous ennuyez-vous point
De coucher toujours seul? Une esclave assez belle
Était à mes côtés ; voulez-vous qu'on l'appelle ?
- Non, dit l'ami, ce n'est ni l'un ni l'autre point:
Je vous rends grâce de ce zèle.
Vous m'êtes, en dormant, un peu triste apparu ;
J'ai craint qu'il ne fut vrai; je suis vite accouru.
Ce maudit songe en est la cause.»
Qui d'eux aimait le mieux ? Que t'en semble, lecteur ?
Cette difficulté vaut bien qu'on la propose.
Qu'un ami véritable est une douce chose!
Il cherche vos besoins au fond de votre coeur;
Il vous épargne la pudeur
De les lui découvrir lui même :
Un songe, un rien, tout lui fait peur
Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Le mal marié
Illustration de J.J. Grandville (1803-1847)
Que le bon soit toujours camarade du beau,
Dès demain je chercherai femme ;
Mais comme le divorce entre eux n'est pas nouveau,
Et que peu de beaux corps hôtes d'une belle âme
Assemblent l'un et l'autre point,
Ne trouvez pas mauvais que je ne cherche point.
J'ai vu beaucoup d'Hymens, aucuns d'eux ne me tentent :
Cependant des humains presque les quatre parts
S'exposent hardiment au plus grand des hasards ;
Les quatre parts aussi des humains se repentent.
J'en vais alléguer un qui, s'étant repenti,
Ne put trouver d'autre parti,
Que de renvoyer son Epouse
Querelleuse, avare, et jalouse.
Rien ne la contentait, rien n'était comme il faut :
On se levait trop tard, on se couchait trop tôt,
Puis du blanc, puis du noir, puis encore autre chose ;
Les Valets enrageaient, l'Epoux était à bout ;
Monsieur ne songe à rien, Monsieur dépense tout,
Monsieur court, Monsieur se repose.
Elle en dit tant, que Monsieur, à la fin,
Lassé d'entendre un tel lutin,
Vous la renvoie à la campagne
Chez ses parents. La voilà donc compagne
De certaines Philis qui gardent les dindons
Avec les gardeurs de cochons.
Au bout de quelque temps, qu'on la crut adoucie,
Le Mari la reprend. Eh bien ! qu'avez-vous fait ?
Comment passiez-vous votre vie ?
L'innocence des champs est-elle votre fait ?
Assez, dit-elle ; mais ma peine
Etait de voir les gens plus paresseux qu'ici ;
Ils n'ont des troupeaux nul souci.
Je leur savais bien dire, et m'attirais la haine
De tous ces gens si peu soigneux.
Eh, madame, reprit son époux tout à l'heure,
Si votre esprit est si hargneux
Que le monde qui ne demeure
Qu'un moment avec vous, et ne revient qu'au soir,
Est déjà lassé de vous voir,
Que feront des Valets qui toute la journée
Vous verront contre eux déchaînée ?
Et que pourra faire un Epoux
Que vous voulez qui soit jour et nuit avec vous ?
Retournez au village : adieu. Si de ma vie
Je vous rappelle et qu'il m'en prenne envie,
Puissé-je chez les morts avoir pour mes péchés
Deux femmes comme vous sans cesse à mes côtés.
Une partie du spectacle de rue "Glissendo"
lors d'un festival d'art français: "Lightning"
de Philip Glass.
Conception et design technique
par Ulik (le clown mécanique).
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Etonnant !
Il vous faut des livres.....
Sceller les bords...
Pour découper :
- des couteaux, des pinces, des outils...
Rien n'est déplacé ni ajouté dans le livre, seulement enlevé !
Voilà le travail de Brian Dettmer !
Pour voir les autres oeuvres de cet artiste,
Rendez-vous : ICI :
http://briandettmer.com/
C'est une illusion...
dans la rue à Stockholm à Sergels torg
créée par Erik Johansson.
Visible entre 7-12 Juin 2011.
C'est vraiment une très belle animation
réalisée par Erica Haowei Hu, un designer basé à New York.
Un beau voyage à travers, comme son nom l'indique,
les quatre saisons..
Des couleurs exquises...
quelques minutes merveilleuses......
Saisons
Si je dis
Les corbeaux font la ronde
Au dessus du silence
Tu me dis c’est l’hiver.
Si je dis
Les rivières se font blanches
En descendant chez nous
Tu me dis le printemps.
Si je dis
Les arbres ont poussé
Leurs millions de soleils
Tu me dis c’est l’été.
Si je dis
Les fontaines sont rousses
Et les chemins profonds
Tu me diras l’automne.
Mais si je dis
Le bonheur est à tous
Et tous sont heureux
Quelle saison diras-tu
Quelle saison des hommes ?
Jean-Pierre Siméon
L'Art de rue est un art mis au point dans les espaces publics,
bien que le terme fasse généralement référence
à l'art non autorisé, par opposition à des initiatives parrainées par le gouvernement.
Cela peut inclure des oeuvres d'art traditionnelles : graffiti, sticker,
affiche, autocollant...
Sebastian Buck a créé Unurth,
un blog où il collectionne les photos d'art de la rue
de partout dans le monde.
Cranio, Sao Paulo
Ericailcane + Lucy McLauchlan, Lisbon
Sr. X + E1000Ink, Spain
Pour découvrir les autres photos,
C'est ici : http://unurth.com/index
C'était un grenadier amoureux d'une orange maltaise,
Il s'installa chez elle, y pris ses quartiers d'été,
Elle donna tout son jus, il faillit exploser,
Et à ce moment là arrivèrent les pépins,
Un citron trop pressé, un melon sur la tête les surpris,
"Mozart est là?" demanda t'-il,
La grenade explosa, il y eu des zestes déplacés,
Je n'ose vous en parler...
Le citron confit déguerpit rouge comme une tomate,
Les œufs attirés par le bruit repartirent brouillés,
Le concombre avait peur et dit à l'aubergine :
"Appuie sur le champignon, ça tourne au vinaigre!"...
Le panier à salade est arrivé,
Tous ont été assaisonnés,
Et nos deux tourtereaux
Ont fini au basilic !
Nicolas Reuge
Reproduction de peinture célèbre réalisée avec des légumes
-oeuvre de l’artiste chinois Ju Duoqi
Source : http://bit.ly/d6cc6y